D’après le français Pascal Vilcollet : « Dans la peinture, il y a la phase de construction, qui est d’apprendre et d’assimiler les choses ; et il y a cette phase de déconstruction, où l’on se dépouille de toute chose et où l’on devient plus sincère. » Ce mantra, l’artiste l’applique, dans le cadre de l’exposition, à la nature morte florale. C’est ce motif classique qu’il déstructure, revenant à l’essence du geste, sur des fonds lumineux et dépouillés, pour donner naissance à des œuvres poétiques et évanescentes.
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